CONTEXTE TEST

Ils marchent. Inlassablement, ils marchent. Terriblement, ils se relèvent, reprennent vie. Et ils marchent. D'un pas lent et euphorique ; ils ont changés et ils marchent. C'est une marche cathartique avec pour seul but précis de dévorer la victime. Et ils marchent, dans un bruit abominable, dans l'odeur de putréfaction, ils marchent recherchant une odeur, un gibier, une nourriture.
On les appelle marcheurs, aussi bien que morts-vivants ou bien encore zombies. On les décrit comme inhumain, sans conscience avec pour besoin de se nourrir, humain ou non. uc

en vrai cey moche et j'vais recommencer

Leurs bras pendant face à eux, leurs dents dévoratrices de chaires; ils sont affamés. Ils ont été le fléau de l'humanité pour lentement prendre sa place. Cachés, dissimulés, ils ont compté les jours, les semaines, les mois et un jour ils observeront que les morts marchent depuis plus d'une année; l'habitude de les voir errer, de survivre à leurs côtés. Vivants ou marcheurs, leur âme a été retirée à chacun d'entre eux.
Ils sont les faces d'une même pièce. Morts et vivants; l'un différenciant l'autre seulement par les battement d'un coeur, par l'effort de la cage thoracique. Tous morts à l'intérieur, sans pitié. Humains inhumains, humains pareillement aux morts. Et ça frappe, et ça mord, et ça déchiquette, et ça découpe, et ça saigne, et ça détruit, et ça brise, et ça tue, et la bonté du coeur humain qui se meurt. C'est eux où nous que l'on dit. C'est tuer ou mourir. C'est la dure loi de la jungle, celle qui est sans pitié, la pitié que nous ne montrons pas, celle qui ne permet qu'aux plus forts de se maintenir en vie; il y a les brutes, les fous, les tueurs, les dévoreurs dont les actes se mêlent à ceux des marcheurs, pire qu'eux, accumulant eux aussi les victimes, s'amusant de la mort qui les pourchasse et qu'ils pourchassent.
Chacun est propice à devenir repas, mais nul ne sait par qui il se fera dévorer.

bon, j'ai voulu essayer un truc mais on part pas sur un succès succès

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